Depuis peu, mon sang, à la vue d'un étale de boniatos dans un supermarché, ne fait qu'un tour et VITE, une envie de bunuelos pointe le bout de son museau ;-)!
Que nenni! Nous voilà donc il y a quelques jours sortant du magasin avec 750 g de patate douce (oui Sophie, nous avons encore diminué les quantités de la recette originale!), prêts à consacrer tout notre samedi après midi à la confection dudit met qui regalera nos subtils papilles ;-)!
Et d'éplucher pommes de terre et autres boniatos qui, à l'insu de notre plein gré comme disait je ne sais plus qui, se sont avérés être de la patate douce comme on en trouve en France et non de la majorquine, bien filamendreuse qui, nous le verrons plus tard, s'avère être un composant indispensable dans la réalisation du met.
Mais que dis-je? et je m'égare, nous étions retombés dans la bassine (et non, comme certains, dans la potion magique quand nous étions petit!) à mélanger tous les ingrédients (cf. post précédent donnant la recette) et à parfumer la maison d'odeur d'huile qui bouiLLE dans l'unique plaisir de s'empiffrer ce soir au diner de bons et tendres bunyols, accompagnés de l'indispensabe petit verre de Moscatel bien entendu.
Résultat des courses: moins de pate à bunuelos = moins de pate qui lève = moins de bunuelos à faire et à frire et = moins de bunuelos à manger, Sophie n'étant plus là pour nous aider!
Et heureusement d'ailleurs car nous sommes quelque peu décu du résultat (NDLR: ils seront tous tout de même manger car comme disait ma grandmère: faut pas gâcher!), l'élément principal de notre réflexion dans la conversation qui nous a occupé pendant tout le repas étant que les boniatos n'étaient pas les bons (cf. réflexion ci dessus).
Cependant, nous ne manquons pas à l'envie de partager cette nouvelle expérience avec vous ... d'ou ce post et ces quelques photos ... pour vous donner l'eau à la bouche ;-)! Car, hummm, c'est tout de même bien bon :-)!
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